Il convient de ne dire au malade que des paroles susceptibles de lui donner du courage. La visite en elle-même a pour but de lui apporter du réconfort ; il faut aussi lui recommander la patience et l’endurance, et l’engager à se souvenir de Dieu sans jamais désespérer de la bonté divine. Au chevet d’un malade, il est très recommandé de faire des invocations en sa faveur en vue d’une guérison prompte et totale.
En outre, il est très bien de lui demander de faire des invocations en faveur de ses visiteurs, ainsi qu’il résulte d’une parole du Prophète qui nous est rapporté :
« Lorsque vous rendez visite à un malade, demander-lui de faire des invocations pour vous, car elles sont exaucées comme celles des anges ».
La consommation d’alcool entraîne tous les inconvénients : elle empêche l’accomplissements de la prière, éloigne des actes de bien, fait commettre des fautes, provoque des mauvaises paroles. En un met, à cause de l’alcool, l’individu commet des péchés parce qu’il est incapable de se contrôler et de se maîtriser.
L’interdit porte sur toutes les boissons fermentées sans exceptions. Certaines boissons (bières, cidre, etc…) paraissent à certains inoffensives parce que leur taux en alcool est faible par rapport à d’autres ; cependant, il s’agit de boissons fermentées et elles sont illicites.
On voit bien qu’il est de l’intérêt du musulman de veiller avec attention à ce qu’il consomme. Dieu est le plus savant qui veut protéger l’homme contre ses errements et le mettre à l’abri de ce qui lui est néfaste, afin de préserver sa foi et sa relation avec son Seigneur, mais encore préserver sa santé et lui évite d’être avili et déconsidéré par lui-même et son entourage.
L’alcool et la drogue sont véritablement des fléaux pour la société et une source de profondes souffrances pour les familles touchées. Ces maux engendrent le plus souvent les mêmes drames : déchéances, délinquances, violences, meurtres, suicides sans oublier les accidents de la route.
Et les musulmans n’auront, à cet égard, aucune excuse à cela, car il n’est pas un seul d’entre eux qui pourra dire, lorsqu’on l’interrogea au moment du Jugement Dernier, qu’il ignorait notamment, que l’alcool et la drogue étaient prohibés !